300 avant notre ère.
Terrain voisin
mis en culture de nombreuses fois. Les vestiges de briques crues sont bouleversés
Couches d’occupation successives
A la suite de nettoyages et de balayages apparaissent les couches d’occupation successives, souvent de dix à vingt centimètres d’épaisseur. La fouille en profondeur demande donc de longues heures et on voit apparaître dans le terrain des vestiges appartenant à plusieurs millénaires. Si ces vestiges sont circulaires ou ovales, ils sont antérieurs à l’arrivée des armées égyptiennes. L’exemple de l’avant porte quadrangulaire, bien visible sur le cliché, appartient à une architecture égyptienne
Installation pour des offrandes
après une reprise du pouvoir par une coalition des chefs de guerre africains. Il s’agit d’une installation pour des tables d’offrandes qui apparaissent maçonnées en terre dans le sol archéologique
Palmeraie
achetée pour la sauvegarde du site de Doukki Gel
Cultures actuelles
d’orangers et de palmiers dattiers
Avant-porte de Thoutmosis Ier, de Thoutmosis II et d’Hatchepsout
Enorme ouvrage fortifié égyptien saillant des murs d’enceinte de la ville. Les fonctions du monument sont certes militaires mais aussi cérémonielles et religieuses. Il s’agit d’un vestibule où l’on accueillait les indigènes pour des échanges de marchandises régionales.
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Porte principale de la ville
restaurée durant le règne d’Hatchepsout. Dimension trente sur quarante mètres. Thoutmosis Ier et de Thoutmosis II et d’Hatchepsout
Vestibule d’entrée
sous la forme d’une grande hutte de soixante quinze mètres de largueur, puis de soixante mètres, doté de centaines de colonnes
Enceinte extérieure
du front nord des fortifications de la ville